Fenaco va ouvrir une nouvelle chaîne de magasins en Allemagne – radiolac.ch

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Le groupe Fenaco a annoncé mardi la création, en partenariat avec la société de commerce allemande ZG Raiffeisen, d’une coentreprise pour se développer sur le marché du commerce de détail.
Détenue à parts égales par les deux partenaires, cette dernière ouvrira conjointement cinq magasins dans le sud de l’Allemagne dès 2022, sous la marque Landwelt.
Spécialisée dans les segments de la maison et du jardin, la nouvelle enseigne se base sur le concept des magasins Landi, fer de lance de la coopérative bernoise, qui se caractérise par « une proportion élevée de marques propres et des prix bas permanents », indique Fenaco dans un communiqué. L’assortiment comprendra également des produits locaux, notamment dans les secteurs de l’alimentation et des boissons.
Le concept, l’approvisionnement, la logistique et la distribution seront assurés par Landi Suisse, alors que ZG Raiffeisen soutiendra Landwelt dans l’acquisition de sites, ainsi que dans le domaine des ressources humaines et des finances.
« Notre implantation dans le sud de l’Allemagne et la coopération renforcée avec ZG Raiffeisen nous permettent d’accroître encore davantage notre volume d’achats », s’est félicité le président de la direction de Fenaco, Martin Keller, cité dans le communiqué.
La collaboration entre les deux entreprises, également membres de l’association internationale de coopératives agricoles européennes (Intercoop Europe), remonte à 2015.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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L’actuel patron de Denner, Mario Irminger, a été désigné pour succéder à Fabrice Zumbrunnen au poste de président de la direction générale de la Fédération de coopératives Migros (FCM), a annoncé cette dernière jeudi. Il prendra ses nouvelles fonctions le 1er mai.
Agé de 57 ans, Mario Irminger est directeur général du discounter Denner, filiale de Migros depuis 2011. Il a débuté sa carrière chez Ernst & Young, avant de rejoindre Heineken Suisse en tant que directeur financier en 1996. Pour la présidente Ursula Nold, citée dans le communiqué du géant orange, il est « un grand connaisseur du commerce de détail suisse ».
Le deuxième Romand à accéder à ce poste a notamment contribuer à la poursuite et au développement des activités de santé du groupe. Medbase, Movemi, Bestsmile et Misenso ont généré un total de 746 millions de francs en 2022, en hausse de près d’un cinquième, indiquait l’entreprise dans la publication de ses chiffres annuels.
Le futur patron du distributeur doit « insuffler un nouvel élan aux activités principales de Migros et continuer à faire avancer l’ensemble du groupe », a-t-elle ajouté. « Sous sa direction, Denner a pu asseoir sa position de leader, augmenter fortement son chiffre d’affaires et atteindre une croissance profitable, ceci dans un secteur du discount marqué par une forte concurrence », a souligné Mme Nold.
En 2022, Migros a franchi les 30 milliards de francs de recettes, soit une progression du chiffre d’affaires des coopératives et filiales du groupe de près de 4%. Seules les ventes au détail en Suisse ont accusé un léger repli pour s’établir à 23,12 milliards, indiquait un précédent communiqué.
« La tâche prioritaire du nouveau président de la direction générale de la FCM sera de poursuivre le développement du groupe Migros, tout en renforçant et réorganisant plus efficacement l’activité des supermarchés de Migros, ensemble avec les dix coopératives régionales », a souligné la coopérative.
Il succédera à Fabrice Zumbrunnen qui avait annoncé en octobre dernier son départ, de manière inattendue. L’actuel titulaire du poste quittera ses fonctions en avril.
al/jh/vj/ib/fr
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Mario Irminger a été désigné pour succéder à Fabrice Zumbrunnen au poste de président de la direction générale de la Fédération de coopératives Migros, a annoncé cette dernière jeudi. M. Irminger est directeur de la filiale Denner depuis 2011.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats

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Pour préserver la sécurité alimentaire de la Suisse, il est nécessaire de prendre des mesures de grande ampleur. Un groupe de plus de 40 scientifiques propose notamment une taxe CO2 sur les denrées alimentaires et une interdiction des promotions sur la viande.
Le comité a réuni les mesures dans un guide qu’il a présenté jeudi à Berne à l’occasion du Sommet suisse sur le système alimentaire. Dans un premier temps, les scientifiques, issus d’institutions suisses renommées, recommandent la création d’ici 2025 d’un fonds de transformation qui financera des mesures d’information.
Concrètement, il pourrait s’agir par exemple de programmes de formation ou de formation continue pour les professions concernées sur l’ensemble de la chaîne de création de valeur ou de programmes d’aide à la reconversion pour les jeunes agriculteurs. Le fonds doit également servir à financer des innovations technologiques.
A partir de 2025, le guide préconise la mise en oeuvre de mesures règlementaires et de taxes d’incitation comme une augmentation des droits de douane pour les produits animaux et une taxe CO2 sur les denrées alimentaires.
La troisième phase se concentre sur la politique agricole et le soutien aux zones rurales. Selon les scientifiques, il est possible d’envisager une adaptation des paiements directs ainsi que des allègements fiscaux pour les agriculteurs et agricultrices.
Pour la quatrième phase dès 2030, les chercheurs proposent d’introduire progressivement de nouvelles mesures de régulation, dont une interdiction des promotions sur les produits comme la viande, le lait et les oeufs.
Le guide a été remis au conseiller fédéral Guy Parmelin. « Les recommandations coïncident avec l’orientation future de la politique agricole que le Conseil fédéral a élaborée l’été dernier », a relevé le ministre de l’économie dans son discours.
Les conséquences du changement climatique sont radicales pour l’agriculture, qui doit s’y adapter, a-t-il ajouté. Et de souligner l’importance d’améliorer la situation sociale et économique des agriculteurs et des agricultrices.
De telles mesures sont urgentes, écrivent les scientifiques dans le guide. La sécurité alimentaire de la Suisse est menacée par les guerres, les pandémies, le changement climatique et l’appauvrissement de la biodiversité.
La Suisse est un pays interconnecté. Elle est donc tributaire du bon fonctionnement des écosystèmes au niveau mondial, tant pour la sécurité de son approvisionnement que pour sa place économique, ajoutent-ils.
Et de souligner que la transformation du système alimentaire est une tâche qui concerne l’ensemble de la société. Outre les acteurs tels que l’industrie, l’agriculture et les consommateurs, l’Etat doit jouer un rôle-clé dans la réorientation stratégique de la politique suisse en matière de système alimentaire.
Outre le guide élaboré par les scientifiques, les recommandations de l’assemblée citoyenne ont également été remises aux autorités. Après près de six mois de travail, elle avait publié en novembre 126 mesures pour une alimentation durable. Les citoyens demandaient notamment plus de transparence, une meilleure information des consommateurs mais aussi une taxe sur les aliments à forte teneur en CO2.
Le guide des experts et l’assemblée citoyenne ont vu le jour dans le cadre du projet « Avenir alimentaire Suisse », soutenu financièrement par les offices fédéraux de l’agriculture (OFAG), de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OFAG) et de l’environnement (OFEV) ainsi que par des fondations privées. Le projet était porté par la Fondation Biovision, le Sustainable Development Solutions Network Switzerland (SDSN) et Agriculture du futur. Il s’inscrivait dans le cadre du plan d’action 2021-23 de la Stratégie pour le développement durable 2030 du Conseil fédéral.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les e-foils, ces surfs à hydrofoil équipés d’un moteur électrique, ne sont pas près d’être autorisés sur les lacs suisses. Les conditions de navigation ne s’y prêtent pas vraiment, indique jeudi le Conseil fédéral dans une réponse à Philippe Nantermod (PLR/VS).
La législation actuelle interdit de motoriser des bateaux ou engins de sport de moins de 2,5 mètres. Cela vaut aussi pour les planches de surf, quelle que soit leur longueur et qu’elles soient équipées ou non d’hydrofoils, rappelle le gouvernement.
Questionné sur un éventuel changement de pratique, le Conseil fédéral se montre réticent. « Cette question doit faire l’objet d’une analyse approfondie et d’une large consultation », indique-t-il dans sa prise de position.
Une autorisation soulèverait plusieurs questions, ajoute-t-il cependant. Il faudrait réglementer l’équipement minimal ou évaluer l’obligation d’obtenir un permis pour les utilisateurs. Les lacs et cours d’eau sont en effet déjà largement fréquentés par la navigation de plaisance.
Dans la zone riveraine à 300 mètres, il est par exemple interdit de dépasser une vitesse de 10 km/h. A cette vitesse, un e-foil ne se soulève pas au-dessus de l’eau et devrait sortir lentement de la zone riveraine.
Le Conseil fédéral rappelle que jusqu’à présent, la Suisse a adopté une attitude très restrictive vis-à-vis des nouveaux engins. Les jet-skis, par exemple, ne sont pas autorisés, pas même s’ils sont équipés d’un moteur électrique.
L’an dernier, le Tribunal fédéral s’est prononcé sur cette question. ll a débouté un Genevois condamné pour avoir navigué sur le Léman avec un e-foil. Il a jugé que ce type d’embarcation peut être considéré comme une embarcation à moteur.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les petites et moyennes entreprises (PME) suisses font preuve d’adaptation pour contrer les répercussions des conflits géopolitiques, relève jeudi une étude de Credit Suisse. Stabiliser et diversifier les chaînes de création de valeur serait sources d’opportunités.
« La Suisse est une petite économie ouverte qui dépend des événements à l’étranger. Les tensions géopolitiques se répercutent sur les PME par la hausse des prix des intrants, les restrictions de la coopération transfrontalière, la densité réglementaire ou encore les risques commerciaux, » expliquent les auteurs de l’étude menée auprès de 650 entreprises suisses.
A court ou à long terme, la quasi-totalité des entreprises interrogées (90%) a dû prendre des mesures pour remédier à l’augmentation des coûts du transport, de l’énergie ou des matières premières et la moitié a répercuté cette hausse aux clients. L’étude Crédit Suisse détaille la résilience des entreprises en citant l’augmentation des stocks (51% d’entre elles), l’appel à des fournisseurs géographiquement plus proches (48%) et à leur diversification (43%).
« Les entreprises rapprochent leurs activités de l’Asie vers l’Espagne ou le Portugal mais rarement pour se relocaliser en Suisse, » explique Martial Decoppet, responsable des entreprises en Suisse romande chez Crédit Suisse, en conférence de presse. « Régionaliser les chaines de valeur est une opportunité pour les pays près des grandes puissances économiques avec des conditions cadres assez bonnes, » ajoute Sara Carnazzi, responsable analyse politico-économique au sein de la banque.
Suite à la prise de position de la Suisse de s’associer aux sanctions internationales contre la Russie au printemps 2022, « 40% d’entre elles ont ressenti des réactions négatives de la part de leurs partenaires commerciaux. Trois quart des interrogées affirment que la neutralité helvétique est importante, rapporte la banque aux deux voiles. Les risques pèsent plus lourds que les opportunités en Argentine, en Iran et en Nouvelle-Zélande, cite-t-on.
Les experts ont également souligné l’importance des risques de réputation des entreprises. 83% d’entre elles ont pris des mesures de prévention contre les cyberattaques par exemple, détaillent les experts.
Les réglementations ont aussi pesé sur la bonne marche des PME, notamment en ce qui concerne la protection des données ou l’environnement. Une pression ressentie par 47% des participants à l’étude, « davantage par les entreprises axées sur l’Union Européenne que par celles tournées vers l’international, » appuie l’établissement bancaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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