Battle for Middle-Earth II: Soluce de Campagne Maléfique – Niveau 4 – Yahoo Actualités

Dans cette soluce vidéo, les Goblins attaquent la cité en ruines de Fornost. Originellement la capitale d’Arthedain avant d’être détruite par le Roi-Sorcier d’Angmar, la ville est désormais le dernier rempart à résister aux armées de Sauron à l’Ouest des montagnes brumeuses. Les hommes et les nains se sont réunis pour défendre la ville. Ce niveau de la campagne permet un plein usage de toutes les unités et des structures à la disposition des goblins.
Voici une sélection de 7 BD pour célébrer l’édition 2023 du plus grand festival BD du monde, qui fête cette année son 50e anniversaire du 26 au 29 janvier.
Le général Petr Pavel, ex-chef du Comité militaire de l'Otan et partisan de l'aide militaire à l'Ukraine, a été élu samedi à la présidence de la République tchèque, battant l'ancien Premier ministre Andrej Babis.
La Bélarusse Aryna Sabalenka, 5e mondiale, a remporté samedi l'Open d'Australie, son premier titre du Grand Chelem, en battant en finale à Melbourne la Kazakhe et 25e mondiale Elena Rybakina 4-6, 6-3, 6-4.
Documentaire – L’acteur se confie dans un nouveau documentaire qui a été présenté au festival de Sundance
VOICI : Meghan Markle : cette fois où la femme d’Harry a confondu Andrew avec un "assistant de la Reine"
décryptage – Le nombre d’attaques a doublé en cinq ans, dans un contexte global de hausse de ce que des chercheurs qualifient des « morts du désespoir »
Voici – Oscars 2023 : combien va toucher Jimmy Kimmel pour présenter la cérémonie ?
Un Palestinien armé a tué par balles sept personnes, vendredi soir, près d'une synagogue à Jérusalem-Est pendant les prières du shabbat après des frappes israéliennes sur la bande de Gaza. Cette attaque, qui survient après un raid israélien mortel jeudi à Jénine, ravive le risque d'une escalade de violence meurtrière entre Israéliens et Palestiniens.
Voici – Les 12 coups de midi : Jean-Luc Reichmann interrompu par le hurlement d'un enfant dans le public
❄️Reportage à 1 3000 mètres d'altitude dans le massif de la Chartreuse, là où la neige se fait chaque hiver de plus en plus rare.
Voici – Le comédien et metteur en scène Gérard Caillaud est mort à l’âge de 76 ans
Ce samedi, afin d'échanger sur son projet très contesté de réforme des retraites avec des acteurs locaux, la Première ministre Elisabeth Borne s'est rendue pour une déplacement surprise dans le Calvados. Cela, quelques jours avant la deuxième journée de mobilisation sociale, prévue le 31 janvier.
Changer d'aire pour pouvoir respirer: depuis 2013, sur un terrain d'accueil de gens du voyage près de Lille pris en étau entre une centrale à béton et une briqueterie, des femmes mènent le combat pour revendiquer un environnement vivable."Qui habiterait à côté de ces usines? Normalement pas des êtres humains". Dans la cuisine de sa baraque, au côté de ses trois soeurs, Sue Ellen Demestre affiche une indignation intacte après une décennie d'engagement. Sa famille est sédentarisée, de fait, depuis 15 ans sur cette aire, où se serrent selon son décompte quelque 280 personnes. Un rideau d'arbres les séparent de la centrale à béton, un talus d'une concasserie de gravats. A l'origine, des familles avaient établi un campement "sauvage" sur un terrain tout proche pour y passer l'hiver. En 2007, une aire d'accueil est créée, la loi Besson imposant aux communes de plus de 5.000 habitants d'en disposer. D'abord satisfaits, les occupants déchantent quand apparaissent gale du ciment, conjonctivites et problèmes respiratoires, rapporte Sue Ellen. Sans compter le bruit et le ballet des camions. Mais faute d'autre solution et pour scolariser les enfants, ils prennent racine. Jusqu'à ce qu'en 2013, les Briqueteries du Nord s'installent. C'est la nuisance de trop, des femmes, dont la mère de Sue Ellen, créent un collectif, Da so vas, "Tendre la main" en dialecte tzigane. Pétitions, manifestations, réalisation d'un film s'enchaînent.- "On paie pour mourir" -"On a perdu notre belle-sœur de 42 ans d'un cancer généralisé. Son frère a aussi eu un cancer. Sur dix naissances, sept enfants finissent asthmatiques. Les personnes âgées ont des bronchites à répétition", liste Sue Ellen, qui pointe un "racisme environnemental". "Ici, on paie pour mourir", lâche sa sœur Lisa, car les occupants payent un loyer. "En juillet-août, c'est invivable: vous posez un téléphone, en deux minutes il est couvert de poussière". Sa nièce de 20 ans, mère de deux filles de 9 mois et 6 ans, sort le moins possible sa cadette, qui souffre de problèmes respiratoires et d'irritations des yeux. Aucun lien officiel n'a été établi entre l'état de santé des résidents et la pollution du site. En novembre 2020, la préfecture a demandé à la société bétonnière CCB d'évaluer à ses frais ses émissions. Les mesures seront réalisées "au deuxième trimestre 2023", assure CCB. Jusque là, aucun bureau d'études n'a accepté d'intervenir en raison du "risque de dégradation" du matériel par les résidents, plaide la société. "On peut faire toutes les mesures qu'on veut, de toute façon il y a de la poussière et elles ne veulent plus vivre là", balaie l'élu référent de la métropole lilloise pour les gens du voyage, Patrick Delebarre. La relocalisation de cette aire est désormais actée dans le Schéma Départemental d'Accueil des Gens du Voyage. Mais trouver d'autres terrains est complexe, souligne-t-il. - Une mobilisation "unique" -"La loi demande aujourd'hui qu'on mette ces gens dans des lieux salubres", alors qu'à l'époque, "la façon de voir consistait à dire +la loi oblige à les mettre dans un coin, mettons-les dans un coin+". Le Schéma départemental prévoit des terrains familiaux ou de l'habitat adapté, mêlant maisons et emplacements pour caravanes, car les aires "ne correspondent plus aux attentes des gens du voyage du Nord", largement sédentarisés, explique-t-il.  Les communes de Ronchin et Hellemmes cherchent des terrains mais "on n'a plus beaucoup de parcelles publiques constructibles" et la place manque, affirme la mairie de Ronchin.  Pour William Acker, juriste issu de la communauté des gens du voyage, le combat des femmes de cette aire, "parmi les pires" de France, est unique "même à l'échelle européenne". "Habituellement, les luttes sont éparses et s'épuisent très vite, le public des aires d'accueil ne peut pas se permettre de s'opposer frontalement à l'administration". "Qu'on le veuille ou pas, ils ont réussi à nous sédentariser", résume Sue Ellen. "Mais je veux qu'on le soit à notre façon. On veut aussi que plus tard nos enfants ait un boulot qui leur donne envie de se lever le matin".bj/cab/cbn
Les célébrations de la Sainte-Dévote se poursuivent à Monaco. Après l'embrasement de la barque sur le port jeudi soir, la princesse Charlène était à la cathédrale vendredi matin pour la traditionnelle messe.
Les Etats riverains du lac Tchad et des donateurs internationaux ont annoncé une aide pour protéger des millions de civils menacés dans cette région par les groupes armés jihadistes. « Les Etats membres et les donateurs institutionnels ont annoncé l'octroi de plus de 500 millions de dollars » à la crise dans la région, indique un communiqué transmis ce vendredi à l'AFP, après une réunion en début de semaine à Niamey, au Niger. Une aide principalement destinée à la protection des civils touchés p
SEQ Simpson – Pourquoi sont-ils jaunes ?
En Nouvelle-Zélande, la ville d'Auckland est en état d'urgence suite des inondations qui ont bloqué la majeure partie de la ville. Le bilan provisoire fait état de deux morts et deux disparus. Avec notre correspondant à Auckland, Richard TindillerDans le quartier de Kelston à l'ouest de la ville, l'eau est montée jusqu'à 1m50. Kushla Patel et son époux avaient acheté une maison dans ce quartier il y a à peine un an ; elle est aujourd'hui submergée par les eaux. « Ma maison est détruite. Mon mari
Oleksandre Pogorielov remonte parfois la route qui mène à l'école de son village de l'est de l'Ukraine, où il a enseigné pendant plus de deux décennies. Mais au lieu de classes et de bavardages, il n'y a plus que des ruines silencieuses.Le bâtiment de l'école a été détruit en avril lorsque le hameau et la région environnante ont servi de ligne de front pour les combats entre forces russes et ukrainiennes.Aujourd'hui, cet homme de 45 ans n'y retourne que pour récupérer le matériel qui a survécu aux bombardements et enseigner à la poignée d'enfants restant dans une salle de classe de fortune, improvisée dans son salon."Que peut encore ressentir un enseignant quand on voit que tout est détruit?", lance Oleksandre en se tenant debout devant l'école en ruines, comme des dizaines d'autres bâtiments du village où il a grandi.Selon l'Unicef, des centaines d'établissements scolaires ont été endommagés ou détruits en Ukraine depuis le début de l'invasion russe, poussant des millions d'enfants à se replier vers l'enseignement en ligne.La Russie accuse, elle, l'armée ukrainienne d'utiliser des écoles et d'autres infrastructures civiles pour abriter ses troupes et stocker des munitions. Une pratique dont Moscou est aussi accusée.Le village de Chandrygolové, désormais vidé de la quasi-totalité de ses 1.000 habitants d'avant-guerre, mais qui compte encore 15 enfants, n'a plus accès à l'électricité ni à Internet.Malgré les difficultés, Oleksandre pense "qu'il vaut mieux donner des cours en présentiel". "Un médecin doit soigner ses patients et un enseignant doit enseigner aux enfants", ajoute-t-il.C'est pourquoi, lorsque l'école a été détruite, il a décidé de donner des cours chez lui, "pour que les enfants puissent interagir".- Seulement l'ukrainien -Désormais, chaque jour, quelques élèves se retrouvent dans le salon d'Oleksandre et de sa femme Larissa, tandis que des chats se prélassent près du poêle à bois et des canards cancanent dans la cour.Les murs du salon sont tapissés d'affiches récupérées dans le bâtiment de l'école, montrant l'alphabet et la syntaxe.Dans un coin se trouve un microscope que les élèves ont utilisé pour examiner des cellules pour une leçon de biologie. Des livres, certains tirés d'une cave près de l'école, sont empilés sur des étagères.Oleksandre enseigne à 11 élèves âgés de 4 à 16 ans la langue et la littérature ukrainiennes, la littérature étrangère, la biologie, la géographie et les mathématiques."Pour ce qui est des classes supérieures, ce serait difficile pour moi d'enseigner les mathématiques — je devrais d'abord les apprendre moi-même", affirme-t-il en riant.La langue et la littérature russes faisaient autrefois partie du programme dans cette région majoritairement russophone. Mais plus maintenant.Lorsqu'on lui demande pourquoi, il répond: "Je ne sais pas, je n'enseigne plus que la langue et la littérature ukrainiennes maintenant".Selon lui, les parents ont soutenu le retrait du russe, mais le village est encore secoué, comme beaucoup d'autres communautés de la région de Donetsk, entre sympathies pro-ukrainiennes et pro-russes.- Avenir incertain -La plupart des quelques 120 élèves qui fréquentaient autrefois l'école du village sont aujourd'hui réfugiés en Europe, dans d'autres régions de l'Ukraine ou en Russie."Je ne peux pas parler pour les autres. Chacun a ses propres opinions", déclare Oleksandre à propos de la guerre. "Je ne peux même pas parler pour moi-même en ce moment. Je ne suis pas sûr de mes propres pensées", dit-il.Les cinq enfants présents lors d'un cours mardi parlaient un mélange d'ukrainien et de russe, mais ont rapidement admis que leur matière préférée était l'ukrainien.Chandrygolové a été repris par les troupes ukrainiennes en septembre 2022, mais les signes de la guerre y sont toujours présents.Oleksandre, 15 ans, parcourt trois kilomètres pour se rendre en classe. Sur des routes goudronnées, de peur de marcher sur une mine.Son camarade Dmytro ajoute sobrement que dans un village voisin, deux personnes sont mortes en activant un piège laissé par les soldats lors d'une promenade dans la forêt.Oleksandre Pogorielov espère pour autant qu'une certaine normalité reviendra dans le village, qui a obtenu un financement pour reconstruire l'école.Pour l'instant, il est le seul enseigner à aider ses élèves à atteindre leurs rêves.Oleksandre, l'adolescent, dit vouloir devenir policier, tandis que sa camarade Daria, 13 ans, espère travailler dans une banque. Mais leur enseignant est inquiet pour leur avenir."Je ne ferais pas ça si je ne m'inquiétais pas", souffle-t-il.sw/pop/bur/juf
Reconvertis dans le X, Amandine et Alexandre Pellissard se sont lancés sur les réseaux sociaux il y a quelques mois. Depuis, leurs photos hot et leurs vidéos pornographiques leur rapportent beaucoup d'argent.
Trois personnes ont été tuées et au moins quatorze blessées ce samedi dans une frappe russe sur Konstantynivka, dans l'Est de l'Ukraine. Moscou accuse pour sa part Kyiv d'avoir ciblé un hôpital.

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